Plus de 150 historiens, journalistes et témoins des événements ont analysé les thèmes de la période: le XXe Congrès du PCUS et le rapport secret de Kroutschev, concernant les crimes commis par Staline, les Réactions est-européennes et occidentales, soulevées par les divulgations de Kroutschev, les Mouvements de Pologne, la Révolution hongroise, les Mouvements de solidarité avec la révolution hongroise, le Conservatorisme et les luttes pour le pouvoir au sein du Parti ouvrier Roumain, le Stalinisme anti-soviétique, le Pacte de Varsovie et le Conseil d’Aide Economique Réciproque, l’Amélioration des relations entre la Roumanie et la Yougoslavie, les Mouvements de résistance dans les montagnes, la Résistance à l’intérieur et à l’extérieur du pays et les réactions du gouvernement roumain, les Mouvements estudiantins de 1956, l’Intensification du processus de collectivisation, Nouvelles révoltes paysannes (1958-1960), La liquidation des koulaks (ou des paysans cossus), la Retraite des troupes soviétiques de Roumanie, Nouvelles vagues d’arrestations 1958-1960, les Procès politiques des intellectuels.
Parmi les participants de cette année, il y a eu Dennis Deletant (Angleterre), Paul Michelson (Etats-Unis) Tatiana Pokivailova (Russie), Antonina Kuzmanova (Bulgarie), Pierre Vallino (France), Katharina Kilzer et Hans Bergel (Allemagne), Katalin Somlai et Andras Hegedus (Hongrie), l’académicien Alexandru Zub et le professeur Dumitru Sandru (Iasi), Adrian Marino et Stelian Mândrut (Cluj). Parmi les personnalités de l’exil, nous ont fait l’honneur de leur présence le Monseigneur George Surdu, Mircea Carp, Sergiu Grossu.
La commémoration des défunts, tenue dans le Cimetière des Pauvres, a été officiée cette année par des prêtres orthodoxes et gréco-catholiques, qui ont eu pour la première fois à leurs côtés le Monseigneur Gheorghe Surdu, le chef de la mission gréco-catholique de Paris.