A commencer par le Mouvement Goma et le Syndicat libre des travailleurs de Roumanie, par les actions courageuses de Doina Cornea, de Vasile Paraschiv et d’autres opposants de différentes villes et milieux, en passant par « la propagande contre le régime socialiste » entreprise par des dizaines de jeunes, parmi lesquels Radu Filipescu, en terminant pas le sacrifice de l’ingénieur Gheorghe Ursu et par la publication du journal clandestin « România » (la Roumanie) par un groupe de journalistes courageux, les panneaux de cette salle présentent des cas d’exception dans un pays qui avait été réduit au silence et à la soumission.
posted in: Deuxième étage