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Le traitement du passé récent, entre l’histoire et la mémoire

Du 20 au 22 novembre 2010 a eu lieu l’atelier pour les journalistes Le traitement du passé récent à travers la relation entre la mémoire et l’histoire, organisé par la Fondation Académie civique (le Mémorial des victimes du communisme et de la résistance – le Centre international d’études sur le communisme) et la Fondation culturelle Memoria.
15 journalistes de Bucarest, Timisoara, Cluj, Satu Mare, Alba Iulia, Oradea, Suceava, Braila et Galati ont participé à cet atelier. Les débats engagés pendant les trois jours leur ont donné la possibilité de méditer ensemble en marge du passé récent et de ses échos dans le présent.
Samedi a eu lieu un débat intitulé « Du passé faisons table rase ! ». L’analyse du passé récent. Étude de cas : la Roumanie, à l’occasion du lancement, au Salon du livre Gaudeamus, de deux nouveaux volumes édités par la Fondation Académie civique – le Centre international d’études sur le communisme, intitulés respectivement Du passé faisons table rase !, coordonné par Romulus Rusan et Les horreurs et le charme de la détention, de Constantin Ionascu.
C’est toujours samedi que les journalistes ont pu regarder le film L’autobiographie de Nicolae Ceausescu, d’Andreï Ujica.
Les invités de la table ronde qui a eu lieu lundi et qui s’est intitulée Le passé récent – un sujet polémique : le point de vue des victimes et la perspective de l’appareil répressif, ont été Andreï Ujica, réalisateur du film L’autobiographie de Nicolae Ceausescu, Ana Blandiana, Romulus Rusan et Micaela Ghitescu. Ce débat portant sur le passé récent et ayant pour point de départ le film L’autobiographie de Nicolae Ceausescu a été vif et intéressant.
Vous pouvez trouver des photos de cette table ronde à la page Internet http://www.facebook.com/album.php?aid=35350&id=109206265778740&ref=mf
L’atelier Le traitement du passé récent à travers la relation entre la mémoire et l’histoire est le premier événement du projet « LA MÉMOIRE DES DÉPORTATIONS », mis en œuvre par la Fondation Académie civique et par la Fondation culturelle Memoria et se déroulant de novembre 2010 à novembre 2011, dans le cadre du programme « L’Europe pour les citoyens », l’action « La mémoire européenne active ».